Je le respire comme une fleurje le caresse comme une soieje suis suspendue � son c�urmon ciel, mon enfer � la foisje l'�coute comme un oraclemagie infinie d'une voixje le regarde comme un miracledont mes yeux ne reviennent pasje le prot�ge comme un enfantfragile, dans le creux de mes brasil me fait peur comme le tempsqui passe et que l'on ne retient pasil m'�merveille comme un r�vequi c'est enfin r�alis�et il me fait mal comme un r�vedont il va falloir m'�veiller...