Suite aux �v�nements de la journ�e, Kheros s'enferma dans son bureau. Il �tait abattu, sa d�termination tant de fois mise � l'�preuve semblait aujourd'hui s'amoindrir Vorgias le rejoignit.
- Pourquoi cette �preuve, le destin semble avoir choisi son camp. Je nous sens si pr�s du but et pourtant le doute se fait d�sormais pr�sent. Tout ce temps pass� � traquer la b�te ne doit aboutir en un �chec, tous ces efforts ne doivent pas �tre vains, tant de vies sacrifi�es ne peuvent r�sulter en une d�faite.
- Ton combat n'est pas si simple. Te plaindre est inutile. Il te faut penser comme ton ennemi, raisonne comme lui� lan�a Vorgias enthousiaste.
- Je ne puis engendrer le chaos, lui ressembler n'est pas ma cause. Dominer ma haine pour le mal serait trahir les miens.
- Tu ne peux �tre malveillant, ton �me n'est pas si sombre. Ta r�compense sera son agonie, sa d�ch�ance�
Sur ces mots, Kheros semblait remotiv� :
- M'introduire dans son esprit, le comprendre, le ma�triser. Dominer sa fa�on de penser, serait le terrasser�
Vorgias avait su trouver les mots pour encourager son ami dans sa qu�te.