Sale, je vous hais. dieu que tu m'as bien habill� et c'est bien appris.
Chaque nuit, je fais un peu plus sur ton lit. mais voil�, ma culotte saigne encore.
Viens d�crasser ce corps ! tout n'est pas sec. cette odeur, c'est quand je reste allong�e...
Tu ne trouves pas ? tu ne sens pas ? j'ai tous mes doigts ; prends ma main et ne serre pas !
Toutes les fois ou grand roi s'est jou� de sa reine. j'ai presque rong� mon �me (souviens-toi !)
Pour rester dans ces femmes : celles qui te plaisent, celles que tu baises.
Dis leurs mon nom ! je ne peux plus boire cette eau noire. tu te toucheras !
Pourquoi tu ne viens jamais sur ma tombe ? personne, � jamais b�te et naus�abonde.
Je pense trop : "c'est alors qu'elle s'imagine la pelle s'enfoncer. dans la terre, puis dans sa t�te". violent, et m�chant coup a fendu mon �tre. dont il ramasse les restes, morceaux ruin�s.
Dont il se d�lecte. je t'ai vu quand tu ne m'as pas reconnue.
Chercher tes gestes face au corps que tu as �mue. tu t'obs�des et t'�loignes de moi.
Quoi que tu fuies, je resterais sous ton toi. l� o� nos deux corps saignent.
Un amer go�t de fer, arri�re go�t de sang. m'en sortir, �a je ne peux plus.
As-tu pens� aux �mes et aux soeurs que tu as d��us ? ils me mangent et tu l'aimes.
Je pleure les saints de te voir sur cette chienne. sale. c'est cette pute qui m'a tu�e.
Je pourris, pour �a je vous hais. tombe ne fleurit. je vous hais, pour �a je tuerais.